Compagnie La Bazooka
Et si on jouait aux fantômes ?
Traverser l’invisible et observer... les fantômes. Sept spectres flottent sur le plateau, aussi légers que l’air et sans contrainte corporelle. Représentés de façon classique par un drap avec deux trous à la place des yeux, ils apparaissent grâce à la lumière noire. L’illusion est parfaite. Cette joyeuse communauté se livre à un ballet hypnotique où la liberté et la légèreté sont reines. Courses folles, files indiennes, complots et explosions soudaines. On se prend d’amitié pour ces êtres vaporeux qui ressemblent aux mortels, chacun avec sa personnalité, son humour, sa maladresse. Puis on découvre ce qui se cache sous le drap. Les âmes revivent. On laisse danser les revenants. Les références au Boléro, à Merce Cunningham et la technique irréprochable des danseurs font de Pillowgraphies un spectacle qui s’adresse autant aux adultes qu’aux enfants. Ces derniers y voient la fantaisie et la féérie d’un monde qui les fait rêver car cette danse malicieuse convoque les souvenirs de tous, et fait briller les yeux quel que soit leur âge.
DISTRIBUTION
Conception La BaZooKa (Sarah Crépin/Etienne Cuppens) – Avec (suivant les représentations) Nicolas Chaigneau, Louis Chevalier, Sarah Crépin, Aurore Di Bianco, Flore Khoury, Claire Laureau-Renault, Félix Maurin, Sakiko Oishi, Matthieu Patarozzi, Marie Rual, Léa Scher, Taya Skorokhodova et Julien-Henri Vu Van Dung – Chorégraphie Sarah Crépin, en collaboration avec les danseurs – Mise en scène Étienne Cuppens – Création lumière Max Sautai et Christophe Olivier – Réalisation costumes Salina Dumay et Elsa Gérant – Musiques Maurice Ravel, Bernard Herrmann et Jacques Offenbach – Administration et production Margaux Roland – Production et diffusion Mathilde Mahier
MENTIONS OBLIGATOIRES
Production La BaZooKa – Coproductions Le Volcan - Scène Nationale du Havre ; Dieppe Scène Nationale ; Centre Chorégraphique National - Ballet de Lorraine ; L'Arc - Scène Nationale Le Creusot ; Théâtre de l'Arsenal - Scène Conventionnée Art en Territoire Danse Val-de-Reuil – Accueils en résidence Le Volcan - Scène Nationale du Havre ; Dieppe Scène Nationale ; Centre Chorégraphique National - Ballet de Lorraine ; Théâtre de l'Arsenal - Scène Conventionnée Art en Territoire Danse Val-de-Reuil ; Le SiRoCo - Ville de Saint-Romain-de-Colbosc – Soutien Adami – Aide à la diffusion ONDA et ODIA-Normandie – Remerciements Emilie Podevin, Diane Ribouillard, Louise Lorieux, Anne Massot, Yann Cardin et Marine Costard.
La BaZooKa est conventionnée par le Ministère de la Culture / DRAC Normandie, la Région Normandie et la Ville du Havre. La BaZooKa a reçu une aide au projet du Département de Seine-Maritime pour Pillowgraphies.
PRESSE
« Un pur spectacle de danse contemporaine qui vient chercher dans le souffle la façon de se déplacer sans rien brusquer.».
TouteLaCulture.com
T T T
« On assiste à un ballet de fantômes, draps en suspension dans l'air, tantôt balayés par les vents, tantôt rassemblés. Dans l'imaginaire du spectateur, une histoire se dessine au fur et à mesure que le groupe se défait, se recompose, jusqu'à ce que le drap tombe et qu'une autre surprise survienne… Merveilleuse construction/déconstruction pour cette pièce, où le plaisir de l'illusion laisse place à celui de la danse et aux hypnotiques mouvements des corps. »
Télérama Sortir
« Pillowgraphies », formidable spectacle de La BaZooKa
Sept fantômes rôdent sur le plateau, aussi légers que l’air, libres de leurs mouvements. Ils nous font entrer dans un monde merveilleux qui nous rappelle nos jeux enfantins. Ils nous fascinent par leur technique absolument virtuose. Ce ballet blanc d’un nouveau genre s’amuse des spectres de la danse classique tout en convoquant les esprits de chorégraphes ou compositeurs : Le Boléro de Maurice Béjart, des inventions gestuelles signées Merce Cunningham, des extraits de la musique de Daphnis et Chloé de Ravel. Pillowgraphies s’inspire aussi des cultures populaires comme le madison, ou la bande-son des Sept Samouraïs d’Akira Kurozawa. Dans cette épopée galopante et poétique, les corps invisibles provoquent l’imaginaire des petits et des grands, pour les embarquer dans une fantaisie.
La Terrasse